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Ce qu'ils en ont pensé ...


David Hiler, Conseiller d’Etat du Canton de Genève et chargé des finances : « C’était un magnifique spectacle qui combine la musique chinoise et occidentale. Les danses sont un régal pour les yeux. Le spectacle exprime la beauté des traditions chinoises comme son message d’Authenticité, de Bienveillance et de Tolérance ».
Annette Hsiu-Lieu Lu, Vice-Présidente de Taïwan: : « Pourquoi nos vertus les plus  profondes ont-elles disparu? Nous devons vraiment promouvoir la moralité, respecter le Ciel, chérir la Terre, aimer les gens et rechercher la vérité, la bonté et la beauté». « Shen Yun est le plus beau des spectacles, j’espère que vous allez l’apprécier et que la culture chinoise, la plus belle, soit transmise à travers le monde ».
Hans-Gert Pöttering, Président du Parlement européen : « En Europe et dans le monde, aura lieu un spectacle de culture chinoise. C’est une bonne occasion pour réunir de nombreuses personnes et pour des échanges multiculturels. [...] ».


Michel Meyer, Directeur général adjoint de Radio France, directeur du réseau France Bleu : « Ce Gala mêlait aux fresques historiques, les arts martiaux, la danse et toutes ces performances exquises. Je peux le décrire avec des mots allant de mystérieux et parfait à remarquable ».
Edward McMillan-Scott, Vice-Président du Parlement européen : « Je pense que les spectacles culturels présentés dans des villes européennes et ailleurs dans le monde vont aider les Chinois hors de Chine à se remémorer les valeurs éternelles de la Chine, sa culture, ses chants, ses danses et sa joie de vivre, valeurs qui ne font plus partie de la réalité quotidienne d’un bon nombre de Chinois et ce depuis 1949, date à laquelle le Parti communiste chinois a instauré un régime brutal en Chine. Ces festivités sont donc un rappel de ce que la Chine pourrait être, une Chine libre, une Chine qui connaisse les droits de l’Homme, une Chine qui connaisse la liberté de religion, une Chine qui connaisse la liberté culturelle. Ce spectacle rappelle au monde qu’il existe une autre alternative, une autre Chine, la Chine du futur. [...] ».
Stephen Harper, Premier ministre du Canada : « Je ne doute pas que le public sera enchanté par ce déploiement exceptionnel de couleurs, de costumes, par une brillante chorégraphie et des compositions musicales remarquables ».




Thierry Oulevay, Président de World Premiere Watchmaking et co-créateur des montres uniques Jean Dunand (Genève) : « C’est un spectacle extraordinaire, stupéfiant. C’est très artistique et exquis. C’est un beau mariage de la culture et de l’art. La danse et les éléments musicaux et spirituels s’équilibrent aussi très bien. Je n’avais jamais vu ce genre de spectacle raffiné avant c’est un miracle ».
Philippe Joye  ancien conseiller d’état de Genève : « Dans Chevauchée dans les plaines de Mongolie, le charisme et la force des hommes mongols sont exprimés par leurs mouvements évoquant des chevauchées. «Le mongole qui s’exprime couché en arrière comme ça, c’est d’une force évocatrice, c’est digne de Béjart, c’est d’une immense qualité ».
Catherine Bourlet, historienne de l’art et plasticienne, spécialisée dans les objets anciens d’Asie (Genève) : « Un instrument petit comme une coquille de noix,  l’erhu, donne des mélodies si élégantes et gracieuses, qu’elles pénètrent dans notre cerveau et l’on se sent transporté, que l’on connaisse ou non la culture chinoise ».
Agathe Willay-Pichon est responsable de l’événementiel et de la publicité pour la communication au sein du groupe BNP Paribas en Suisse : « Les tableaux qui m’ont beaucoup marquée sont notamment celui des tambours des Tang ainsi que celui où toute la troupe se retrouve sur la scène avec ces trois mots « authenticité, bienveillance et tolérance ». Ce spectacle m’a fait découvrir l’aspect historique. Pour moi, la Chine était synonyme de spiritualité, ce que retranscrivent des tableaux comme le temple, les fleurs de lotus et les bouddhas.[...] « C’est comme si j’ouvrais un livre de contes et que j’étais transportée par ce que j’ai vu, j’ai perdu la notion du temps, c’était du pur bonheur ».
Philippe von Escher est le directeur du Golf & Country Club de Bonmont à Chéserex, près de Genève en Suisse : « La spiritualité des artistes de Shen Yun touche les cœurs. Je travaille dans un endroit magique, d’une grande beauté. C’est une abbaye cistercienne juste en bas du mont, en pleine campagne. Tous les bâtiments sont d’époque. Je crois que j’ai retrouvé un peu de cette magie dans ce spectacle. Par rapport à un ballet traditionnel, l’apport de la culture chinoise et du bouddhisme à la danse donne une impression d’irréel qui nous a emmenés dans un autre monde. La rigueur, la précision qui ont permis à ce spectacle d’être tellement fort que j’avais vraiment l’impression d’être ailleurs ».
Mr. Xue Yongzhu, responsable de l’association de la jeunesse de Corée du Sud et du Nord : « Ce spectacle restaure les 5 000 ans de culture chinoise qui est le coeur même de la culture orientale, détruite par le parti communiste chinois. J’ai vraiment beaucoup de chance d’avoir pu assister à ce spectacle qui a, pour moi, un sens très profond. La sagesse divine telle qu’on peut l’observer à travers l’histoire s’y manifeste pleinement et je comprends mieux maintenant pourquoi cette troupe s’appelle : The Divine Performing Arts ».
Mme Guglielmi travaille pour l'Organisation Mondiale de la Santé, dans la recherche économique et anthropologique : « Je me sens merveilleusement bien après les avoir vus ! Je trouve la danse chinoise beaucoup plus expressive que la danse occidentale. J'ai tout aimé. Le plus inoubliable pour moi est que les Divine Performing Arts ont utilisé la musique et la danse pour interpréter un thème et une histoire. J'ai aussi aimé la toile de fond. Le décore sur l'écran fonctionnait parfaitement avec les performances sur scène. Par exemple dans un des programmes, deux fées célestes sont descendues des cieux et ont accompagné la femme qui avait été torturée à mort en volant jusqu'au ciel. La toile de fond et la danse marchaient parfaitement ensemble sans le moindre défaut. J'aime cette forme d'expression. Il y avait des histoires de dieux et de bouddhas, qui m'ont incité à réfléchir attentivement à certaines questions ».
Madame Stakian, violoniste soliste dans l’Orchestre Philarmonique de Suisse romande : « J’ai été très touchée par la perfection et le travail que cela représente. En même temps, il y a quelque chose d’extrêmement élaboré qui véhicule des idées qui sont simples. Ce qui est porté est extrêmement touchant, c’est une grande vérité éternelle que cette élaboration permet d’intégrer. Tout cette réalisation, ces costumes, ces couleurs, ces mouvements auxquels je suis très sensible sont en quelque sorte un hommage à cette essence, à ces valeurs. C’est une grande vérité de la vie que nous avons commencé à oublier. Notre société nous contraint à une certaine forme de matérialité. Ce spectacle, comme d’autres choses d’ailleurs, permet d’accéder à un but supérieur. Sur ce point, les Chinois ont été, sont et restent très très forts […] ».
Robert Hisland Hiestand, directeur de l'Institut supérieur de musique à Genève : Il a amené cinq membres de faculté de son institut voir le spectacle et apprendre des éléments traditionnels de la musique chinoise. M. Hiestand est un expert de la musique mongole et il est actuellement le Président de l'Association suisse mongole. Il a dit « Un de mes morceaux favoris était « Un zeste de baguettes ». «J'ai travaillé sur la recherche et la protection de la musique mongole pendant des années, et la musique et le rythme de ce numéro est très cher à mon coeur. Bien qu'ayant étudié la musique pendant si longtemps, après avoir vu le spectacle, je me sens comme un enfant nouveau né, car je viens d'expérimenter un nouveau royaume de la musique. Ce n'est pas quelque chose d'habituel ».
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